Vidéo pour Marianne Abergel Sculptrice
Paysage(s) interieur(s)
https://www.youtube.com/watch?v=Gtx9kF0X9QQ
Portrait photo de Daniel Defer,
pour les éditions des archives contemporaines.
Installation vidéo "The inner game"
Mon père était boxeur
Film documentaire et scénario de bande dessinée Mai 2016
Coffret film + Bande dessinée (Quilombo & Futuropolis)
Danse: Sandra Edde, montage: Abdelatif Belhaj, musique: Douglas Cavanna
..........................................
Projection à Rouen, dans le cadre de Normandie impressionniste 2013 .
Projection monumentale au centre nautique de Rosny sous Bois. 2011
Histoires de fil
Portraits d'ouvriers. 2007
5 portraits d'ouvriers au travail 8'x 5 DV, 2007Filature Badin
ARCHIPELS
Pour Médicis Clichy Montfermeil
Portraits d'habitants de Clichy Sous Bois pour affichage urbain.
RELIQUES
Lorsque mon père mourut, mon seul héritage fut quelques objets qu’il avait emportés avec lui à l’hôpital. Telle une archéologue menant son enquête, je fis l’inventaire des objets lui ayant appartenu et que je conserve encore aujourd'hui.ÉTRANGES-ÉTRANGÈRES
18 février-19 mars 2016 Hotel de ville de Guyancourt.
INFANS
Galerie Duchamp, Yvetot. 19 mars-2 avril 2015.
À l’occasion d’une résidence à l'Éclaircie; Institut Thérapeutique, Éducatif et Pédagogique à Barentin, j'ai été accueillie par les familles des enfants pris en charge dans cet institut pour faire un portrait de leur famille.
Un portrait dit négocié, c’est-à-dire une photographie ou chacun prend une place aussi symbolique qu'énigmatique.
Restaurer la mémoire familiale et la place de l'enfant au sein d'un corpus photo-sensible. La famille coeur de nos fondations et de nos fragilités.
Galerie de l'école d'arts plastiques et Centre nautique de Rosny sous Bois.
23 novembre-19 décembre 2012.

La poussée d'un Homme, avec son corps, pour détruire son double, son semblable, son contraire, et sauver sa vie, sa peau, son unicité. C'est la nature-même de l'affrontement, contre soi même, contre un Autre, qui nous ressemble sûrement, mais aussi contre le monde entier. Entre la fusion et la dualité, le combat se fait à la fois étreinte et séparation. Face à face, les corps se cognent, se mélangent, s'enlacent pour mieux se débattre et se rejeter.
Sida, portraits de combattants
Espace Kiron, 2 -20 décembre 2009
Éditions cherche midi 2009
125 pages / 30 euros / ISBN 978-2-7491-1418-7
Textes écrits par Éric Favereau, grand reporter à Libération depuis 1981, responsable du service Société.
En décembre 2009, AIDES a eu 25 ans. 25 ans de luttes, de combats, de souffrances, de reculs et d’avancées.
L’association a décidé de marquer cet événement avec un ouvrage photographique qui met en avant
les militants historiques, célèbres ou anonymes, leur diversité et leur énergie vitale.
Entrent en résonance noir et couleur, passé et présent, vie et mort. Portraits intimistes, figures en action, et paysages urbains s'articulent dans cet hommage à la lutte.
Francoise Barré-Sinoussi, Marie-George Buffet, Hélène Cardin, Jacques Chirac, Daniel Defert, Jean-François Delfraissy, Claude Évin, Anne Hidalgo, Line Renaud, Jean-Luc Romero, Willy Rozenbaum, Bruno Spire, Aliou Sylla et Simone Veil..
Simone Veil
Visiteurs bénévoles en service VIH,
hôpital Tenon, Paris
Lieu de mémoire
Arc en ciel, Paris
Malick Sène
Un atelier textile aidé par Arcad-sida
Bamako, Mali
Campagne de dépistage
Bamako, Mali
Chanteurs de rail
Les voûtes Paris, 2008
La batterie, Guyancourt 2008
Biennale du carnet de voyage, Clermont-Ferrand, 2008
Exposition collective et multimédia, 2008Avec Damien Roudeau (dessin) et Jocelyn Robert (son)
LES YEUX DANS LE MONDE
À la rencontre des musiciens du métro d'ici et d'ailleurs.
Exposition aux voutes, Paris
Barentin, filature Badin
Galerie photo du pôle-image Haute-Normandie Rouen, 2007
Médiathèque d’ Yvetôt, médiathèque de Vernon, 2007
Centre culturel “Le jardin de verre”, Cholet, 2007
Maison d’arrêt pour femmes Rouen, 2007
Work in progress Arles, 2007
Voix off des Rencontres de la photographie, Arles, 2007
Musée de Louviers: Points de vue, paysages Haut-Normand, 2008
Barentin, 76, rue Auguste Badin
Édition points de vue, 2007
72 pages/ 10 euros/ 978-2-915548-17-4
Textes Barbara Pellerin et Emmanuel Hermange
Extrait du texte de Emmanuel Hermange:

Auguste Badin, dit-on, se promenait fréquemment dans la filature muni de son tabouret pour s’asseoir et contempler « sa » main-d’oeuvre en action. Au XIXe siècle, le paternalisme patronal va de pair avec une identification entre l’industriel et ses moyens de production — biens et hommes confondus — si forte, qu’une usine, dans ses moindres aspects, recelait quelque chose de l’autoportrait. En se confrontant trois années durant à la situation actuelle de la filature avec la photographie comme moyen de produire du sens, d’organiser différemment les jeux d’identité et de mémoire qui se sont tissés autour du territoire qu’est la filature, ce sont les ressorts de cette manière d’autoportrait que Barbara Pellerin a déplacés, transférés pourrait-on dire, en laissant résonner le sens psychanalytique du terme, pour s’en approprier finalement la forme : Barentin, 76, rue Auguste-Badin est un autoportrait en devenir.
LES AUTRES
Galerie Michel Journiac, 2007
Séries photographiques humaines et urbaines en trois volets.
Faces (2001)
Le cadrage des visages, serré, les laissant s’échapper, appelle à la rencontre. Il dit cette union de deux regards, celui du photographe au modèle, celui du spectateur au portrait, deux reconnaissances que séparent une durée indéterminée.
Nous assistons à une fuite en avant des visages, témoins muets de ce qui a été, résurgences du déclic photographique, d’une rencontre forcée et fugitive.
Deux regard s’éprouvent réciproquement, les limites deviennent floues et perméables. Le portrait de l’étranger semble tout à coup si familier qu’en lui nous risquons de nous perdre. Regarder l’autre non pour le dévisager, mais l’envisager, traquer son mystère.
Trois femmes (2003)
De l’anonymat d’une rencontre dans
la rue, je basculais dans la sphère intime de celles et ceux qui
m’ouvrirent leurs portes.
Les portraits des premières heures sont posés et convenus, mais autour des mots, le visage se rapproche et le corps se dénudent.
Trois femmes, trois âges de la vie.
Les portraits des premières heures sont posés et convenus, mais autour des mots, le visage se rapproche et le corps se dénudent.
Trois femmes, trois âges de la vie.
Sans rendez-vous (2004)
À la terrasses des cafés, dans cette solitude propre aux mégalopoles, ils n’attendent personne. Je provoque une rencontre, improbable, déconcertante. Je m’assoie le temps d’une image, autour de quelques mots, parfois gênés, souvent dans une politesse distanciée, l’image fige cet instant qui n’avait pas de raison d’être.
Homme n°7